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Drummond, Victo et l’agence Upperkut se moquent (gentiment) des montréalais et des résidants de la rive-sud pris dans le trafic

Les villes de Drummondville et de Victoriaville se disputent depuis longtemps la paternité de l’invention de la poutine. Mais elles ont tout de même décidé d’unir leurs forces afin de parler directement aux automobilistes de la grande région de Montréal. 

Leur message commun ? La vie est belle à Drummondville et à Victoriaville. Il y a beaucoup, beaucoup d’avantages à vivre et à travailler dans ces municipalités. On peut penser, bien sûr, à la question de la circulation automobile. Passer moins de temps en voiture veut dire avoir plus de temps avec les personnes qu’on aime et profiter davantage… de la vie. Ce message est pertinent et percutant, surtout lorsqu’il est présenté avec une dose d’humour ! 

Parce que le Centre-du-Québec regorge d’opportunités d’emplois. Et avec le télétravail qui s’est imposé dans les dernières années, c’est plus facile que jamais d’en profiter ! 

La campagne, conçue et produite par l’agence Upperkut, est diffusée via une série de panneaux publicitaires choisis en fonction de leurs emplacements sur des axes routiers très achalandés entre l’île de Montréal et la Rive-Sud. Il s’agit du pont Mercier, du pont Samuel-De Champlain, du pont Jacques-Cartier, du pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine et du pont Victoria, ainsi que de la station de métro Longueuil–Université-de-Sherbrooke. 

Pour la mairesse de Drummondville, Stéphanie Lacoste, « ce n’est pas nouveau de dire qu’il y a moins de trafic à Drummondville qu’à Montréal. Mais avec les travaux au pont-tunnel et la multiplication des chantiers de construction sur l’île de Montréal, on peut penser que ce ne sera pas drôle ! »

Son collègue de Victoriaville, le maire Antoine Tardif, poursuit : « avec nos collègues de Drummondville, on a voulu rappeler aux gens qui sont pris dans le trafic qu’on existe avec une campagne audacieuse qui fait aussi allusion à la qualité de vie exceptionnelle que l’on retrouve dans nos milieux ». 

C’est autour de cette audacieuse idée que l’agence Upperkut a travaillé, comme le souligne Catherine Aumais, directrice du compte à l’agence : « On se devait d’être pertinents dans nos choix d’emplacements et nos messages. Mais on devait également faire rire, pour pouvoir ensuite faire réfléchir. Je pense qu’on a réussi à créer une émotion positive autour des municipalités de Drummondville et de Victoriaville et qu’on a potentiellement semé une graine dans la tête de beaucoup d’automobilistes qui seront exposés à ces panneaux d’affichage. »

Diffusée depuis le 13 février, la campagne fait déjà beaucoup jaser : aux émissions de Paul Arcand et de Patrick Lagacé au 98,5FM, à celle de Patrick Masbourian à Radio-Canada, à l’émission Salut Bonjour ! à TVA, ainsi que dans plusieurs quotidiens du Québec. Parions qu’elle continuera à faire parler pendant les cinq prochaines semaines d’affichage, et probablement pour plus longtemps encore grâce au bouche-à-oreille qu’elle aura généré.

Les notaires veulent être mieux compris

L’Association professionnelle des notaires du Québec (APNQ), en collaboration avec Upperkut, lance un message publicitaire télé destiné à informer le public que les services offerts par les notaires vont beaucoup plus loin que ce que les gens ont tendance à croire.

« On pense évidemment aux notaires pour des dossiers liés à la succession, aux transactions immobilières et aux testaments, mais peu de gens savent qu’à l’exception de la plaidoirie, le notaire peut exercer les mêmes fonctions qu’un avocat, souligne le président de l’APNQ, Me Kevin Houle. Considérant qu’une part importante de la population adulte fait déjà affaire avec un notaire, nous souhaitons leur rappeler qu’ils peuvent aussi faire appel à eux s’ils ont besoin d’autres conseils juridiques, par exemple pour de la médiation ou des contrats d’affaires.

Le spot télé mise sur un contexte simple et bien répandu dans les soirées et les soupers entre amis du Québec : le jeu du nom dans le front. Pour Ben Duquette, directeur de création à l’agence, « ce jeu bien connu crée un contexte ludique qui favorise des échanges rapides et amusants autour des multiples fonctions occupées par les notaires. Tout le monde à déjà joué au nom dans le front, et peut donc comprendre l’étendue des compétences des notaires. » 

Cette campagne s’inscrit dans une série d’actions visant à assurer la modernisation de la profession notariale, mise en œuvre par l’APNQ. Intitulée Vision 2030, cette démarche a comme objectif de faire connaître et évoluer la profession pour qu’elle soit plus que jamais en phase avec les nouvelles réalités du marché et les attentes du public.

L’ensemble des activités de communications, qui comporte un volet important auprès des quelque 3 800 notaires au Québec, sont coordonnées par Massy Forget Langlois relations publiques. 

Crédits :
Annonceur : Association professionnelle des notaires du Québec
Agence : Upperkut
Relations publiques : Massy Forget Langlois relations publiques
Réalisatrice : Cristina Martins
Production : SOMA
Média : SMP média

 

L’agence Upperkut signe une campagne pour les journées de la persévérance scolaire du RQRE

Le Réseau québécois pour la réussite éducative (RQRE) et l’agence Upperkut se sont associés pour lancer une campagne de sensibilisation à l’occasion des Journées de la persévérance scolaire, du 13 au 17 février derniers. Cette campagne visait à souligner l’importance du soutien de l’entourage des jeunes pour favoriser leur persévérance scolaire. L’objectif était de rappeler que la réussite éducative est l’affaire de tous et toutes. 

Comme le souligne Audrey McKinnon, directrice générale du RQRE : « Cette troisième semaine de février est souvent un moment de l’année scolaire où les jeunes peuvent ressentir une baisse d’énergie et un creux de motivation. C’est pourquoi nous voulions que les Journées de la persévérance scolaire offrent à ce moment-ci une tribune à la société québécoise pour encourager les jeunes, les valoriser et écouter leurs motivations et aspirations. » 

La campagne reposait sur un concept créatif utilisant les tableaux de conjugaison, un élément familier pour les élèves de tous âges. Le tableau était employé pour rappeler que la persévérance scolaire doit être un effort collectif et constant. Ben Duquette, directeur de création chez Upperkut, a expliqué que le tableau de conjugaison était une façon simple et efficace de transmettre ces messages à différents niveaux. 

 La campagne a été diffusée sur les plateformes numériques, à la radio et dans les principaux journaux du Québec. Elle a suscité de nombreuses réactions positives de la part des milieux politiques et éducatifs, notamment lors du grand cocktail de la persévérance scolaire qui a eu lieu en présence du ministre de l’Éducation et des porte-parole en éducation des partis d’opposition, le 14 février dernier. 

À propos des Journées de la persévérance scolaire (JPS)

Pour une cinquième année consécutive, Laurent Duvernay-Tardif était le porte-parole des JPS. Ces journées étaient l’occasion de tous nous rappeler que parfois, un simple geste d’encouragement à persévérer peut avoir un impact positif très important. Elles visaient également à rappeler aux élèves, aux parents, au personnel du réseau scolaire, aux employeurs et à l’ensemble des acteurs nationaux et régionaux qu’ils sont tous indispensables et qu’ils ont un rôle à jouer dans la persévérance scolaire des jeunes.

À propos du Réseau québécois pour la réussite éducative (RQRE)

Le Réseau québécois pour la réussite éducative est le fruit de la volonté de ses membres de travailler de façon concertée et collective, et de développer un réseau efficient qui répond à leurs besoins. Riches d’un savoir-faire, d’une expertise reconnue et d’une capacité indéniable à mobiliser les forces vives d’un milieu en faveur de la persévérance scolaire et de la réussite éducative, les instances régionales de concertation (IRC) agissent collectivement au sein d’un espace interrégional depuis 2005.

 

Pour les profs, l’éducation ne devrait pas être un compromis

La FAE et Upperkut lancent une offensive publicitaire dont l’objectif est de sensibiliser la population au lien qui existe entre les conditions d’apprentissage des élèves et les conditions d’enseignement des profs. En effet, suite à la réception des offres patronales dans le cadre de la négociation de la nouvelle convention collective, la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) a lancé sa campagne « Ensemble, visons plus haut pour l’éducation ». La première salve grand public de cette campagne a été menée par un spot publicitaire diffusé à heures de grande écoute à la télévision, en webtélé ainsi que sur les médias sociaux. 

Le spot publicitaire, signé par l’agence Upperkut, met en scène un couple de parents qui « magasinent » une école pour leur enfant. La discussion surréaliste avec le « courtier » illustre à quel point les conditions d’enseignement sont devenues difficiles, voire intenables pour les profs québécois : pénurie et roulement de personnel, classes surchargées, ventilation inadéquate et non sécuritaire…  

Alors que le gouvernement du Québec affirme vouloir soutenir la réussite scolaire, il fait tout le contraire, selon la présidente de la FAE, Mélanie Hubert : « Les conditions d’enseignement sont directement reliées aux conditions d’apprentissage des élèves. Un enseignant au bord de l’épuisement ne peut pas donner des cours stimulants à ses élèves. De la même manière, une classe mal ventilée et surchargée ne peut pas être un environnement agréable qui donne envie aux jeunes de se dépasser ni qui permet aux profs d’enseigner décemment et de répondre aux besoins de tous. »

C’est ce lien concret entre les conditions de travail des profs et les conditions d’apprentissage des élèves que le message publicitaire illustre. Pour Marc Desnoyers, directeur du service-conseil chez Upperkut, « dans une ambiance pince-sans-rire, les personnages du message publicitaire sont confrontés à un choix déchirant : celui de choisir le moindre mal pour leur enfant, et donc, par ricochet, pour l’ensemble des élèves du réseau public québécois. On crée ainsi un lien fort entre les élèves, les parents et les profs, qui ont tout à gagner si on améliore les conditions d’enseignement. » 

Diffusé à partir de la période des Fêtes 2022, le spot sera visible partout au Québec jusqu’à la fin du mois de janvier 2023.

 

En français, les bons mots existent. Utilisons-les

On « pick up » un paquet ou en fait sa cueillette ?
On dit un magasin fantôme, pas un « dark store ».
On dit « online grocer » ou cyberépicier ?
Cyberépicier, cueillette, magasin fantôme… Facile !

En français, les bons mots existent. Utilisons-les.

Le Service de la francisation de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), soutenu par l’Office québécois de la langue française (OQLF), a fait appel aux services de terminologues pour la réalisation d’un projet de création lexicale en français dans le domaine de la manutention et du transport de marchandises.

Upperkut et la FTQ proposent ainsi une micro campagne de communication mettant de l’avant des termes populaires et leurs nouveaux équivalents francophones. Avouons-le, c’est toujours mieux en français !

Les flux de transports étant conséquents au Québec, nombreux sont les employé.es du secteur, ainsi que le public en général, à faire usage d’expressions en anglais dans l’exercice de leurs fonctions. Afin de les guider vers l’usage des termes francophones appropriés pour leur profession, la FTQ a mandaté une équipe de terminologues afin de préciser les termes, définitions d’expressions et les mots couramment utilisés dans le secteur des transports. 

Pour connaître la liste complète des nouvelles expressions et mots en français proposés par la FTQ dans ce secteur d’activité, consultez la page suivante :
https://ftq.qc.ca/en-francais-les-bons-mots-existent-utilisons-les/

Nouvelle campagne de financement de L’Itinéraire : Aidez L’Itinéraire à rester dans la rue

L’Itinéraire et l’agence Upperkut s’allient dans une campagne de financement audacieuse et sans détour. La vérité toute crue tant dans le message que dans le visuel est aujourd’hui nécessaire pour communiquer l’urgence de soutenir la mission de L’Itinéraire, mise à mal depuis près de 3 ans.

Aidez L’Itinéraire à rester dans la rue. Qu’est-ce qui se cache derrière ce slogan ?

– Une diminution importante de la donation
– Des coupures de l’aide gouvernementale anticipées de près de 50 %, obligeant L’Itinéraire à faire appel à la solidarité des citoyens
– Le besoin de maintenir la vente imprimée du magazine pour les camelots qui en vivent.
– Maintenir l’aide alimentaire, au logement et les interventions psychosociales entre autres nombreux services
– Répondre aux besoins grandissants de la communauté autochtone à travers le programme du Café de la Maison ronde, au square Cabot.

« Ce n’est pas faute d’avoir diversifié les sources de revenus, explique Luc Desjardins, directeur général du Groupe communautaire L’Itinéraire. Malgré ces efforts, les ressources sont insuffisantes. La situation menace la pérennité de l’organisation et est une épée de Damoclès au-dessus de la tête des camelots. Il est important de rappeler que personne n’est à l’abri. L’Itinéraire non plus. Si rien ne change, des choix très difficiles devront être faits. »

La campagne publicitaire est déployée jusqu’à la mi-décembre en bordure des grands axes routiers dans la région métropolitaine de Montréal; en affichage traditionnel et numérique, dans le métro et sur les réseaux sociaux. Il suffit de scanner le code QR des affiches pour donner.

« La pandémie a aggravé les problèmes sociaux, ce qui crée une pression énorme sur le secteur communautaire et l’économie sociale, surtout en matière de collecte de fonds. Nous l’avons constaté avec plusieurs OBNL avec lesquels nous travaillons », précise Marc Desnoyers, directeur du service-conseil de l’agence Upperkut.

La campagne est rendue possible grâce à la générosité de nombreux partenaires, dont Astral chez Bell Média.

À propos de L’Itinéraire

Le Groupe communautaire L’Itinéraire s’est donné pour mission d’accompagner des personnes marginalisées, exclues du marché traditionnel du travail, ayant connu l’itinérance, la dépendance ou souffrant de problèmes de santé mentale. Au fil des ans, environ 3 500 personnes ont amélioré leur qualité de vie notamment par la rédaction et la vente du journal de rue montréalais.

Pour faire un don à L’Itinéraire : https://www.itineraire.ca/faire-un-don/

La ville de Mascouche et l’agence Upperkut ne prennent pas les mascouchois.es pour des jambons.

C’est quoi un jambon? Un jambon, c’est quelqu’un qui, comme Jeff, jette ses déchets n’importe où. C’est quelqu’un comme Suzanne qui, même si la poubelle est pleine, en rajoute. C’est quelqu’un comme Mario qui fait des graffitis sur les édifices publics. La Ville de Mascouche et ses citoyen.nes en avaient assez, parce qu’à Mascouche, on n’est pas des jambons! C’est dans ce contexte que l’agence Upperkut a été mandatée pour développer une campagne de civisme afin de lancer une grande discussion collective sur la propreté de la municipalité en collaboration avec le service des communications de la Ville de Mascouche.

« Avec cette campagne de civisme, nous souhaitons sensibiliser les Mascouchois aux enjeux engendrés par le manque de civisme et aussi les informer sur les alternatives offertes, et ce, en utilisant les personnages sympathiques des jambons », mentionne le maire Guillaume Tremblay.

Cette campagne est visible en affichage dans les lieux publics de la Ville, particulièrement près des endroits problématiques en matière de propreté, ainsi que sur le web et les médias sociaux.

Pour Marc Desnoyers, directeur du service-conseil chez Upperkut, « toute campagne visant à faire évoluer les comportements doit éviter la culpabilisation, le préchi-précha ou les imprécations moralisatrices. Nous avons donc utilisé l’exemple du jambon, qui dans le langage populaire, réfère à quelqu’un qui agit de manière cavalière, sans se soucier du bien commun. Cela nous a permis d’attirer l’attention, de faire sourire, puis, de faire réfléchir sur les bons comportements à adopter en matière de civisme. »

Lien vers la campagne : mascouche.ca/jambons

La FTQ et Upperkut mettent les bouchées doubles pour le français au travail

« Taking double mouthfuls, ce n’est pas la même chose que mettre les bouchées doubles. » « Having bread on the board, ce n’est pas la même chose qu’avoir du pain sur la planche. » Ce sont là quelques-uns des messages que nous avons conçus, en collaboration avec la FTQ et avec la contribution financière du Secrétariat à la protection et à la valorisation de la langue française, visant à faire la promotion du français au travail.

C’est à dessein que nous avons utilisé de l’anglais dans ces messages. L’idée étant justement de provoquer des réactions et d’attirer l’attention sur le fait qu’il n’est pas nécessaire de tout traduire ou de baragouiner l’anglais pour se faire comprendre au travail. 

Cette campagne se déploie à la télé et sur le web, avec deux messages de 15 secondes, et en affichage public à Québec, Gatineau et Montréal. Plus particulièrement dans les abribus, sur les panobus, dans le métro et dans les postes Bixi à Montréal. Les deux messages vidéo ont été développés par l’agence Upperkut et produits par Gorditos. Louis-Philippe Eno en a été le réalisateur. Ce dernier a notamment réalisé le documentaire « L’Amérique pleure », mettant en vedette les Cowboys fringants. 

Cette campagne s’appuie sur de solides bases : un sondage Léger portant sur l’intérêt de la population envers la question linguistique, plus particulièrement auprès des jeunes et des personnes issues de l’immigration, et sur des discussions en groupe témoin, organisés par l’agence. 

Nous en avons tiré une importante leçon au plan de la tonalité : la meilleure façon de rejoindre tous les Québécois et toutes les Québécoises, quelle que soit leur âge ou leur origine, c’est l’humour. C’est exactement la piste créative suivie ici, en développant l’idée d’utiliser des expressions québécoises se rapportant au travail pour démontrer leur pertinence, puis de les traduire dans un anglais discutable, pour un effet comique certain. 

Lien vers la campagne : ftq.qc.ca/campagne-francisation

École ensemble et Upperkut lèvent une main pour un meilleur système d’éducation.

École ensemble, une organisation vouée à l’égalité des chances en éducation, a mandaté Upperkut pour l’élaboration d’une série de publicités qui mettent de l’avant un plan pragmatique, ambitieux et innovant pour réinventer le réseau scolaire, le Plan pour un réseau scolaire commun.

Les messages publicitaires peuvent être entendus à la radio, vus sur le web et aperçus en affichage. Une vidéo explicative mettant en vedette la comédienne bien connue Salomé Corbo a également été produite. C’est d’ailleurs sa voix que l’on entend dans les messages radiophoniques. 

Cette campagne vise à sensibiliser la population à l’importance d’améliorer notre système d’éducation afin de le rendre équitable. École ensemble souhaite, par surcroît, attirer l’attention de la population en général, et des parents en particulier, sur son Plan pour un réseau scolaire commun, qui vise à mettre fin à l’école à trois vitesses. Salomé Corbo, elle-même mère de trois enfants,  permet d’incarner la campagne et de rejoindre les parents, aux prises avec la concurrence entre les écoles.

Pour Upperkut, il est essentiel de ramener le sujet de l’éducation dans l’espace public. Au cours des derniers mois, il a beaucoup été question de santé. Par cette campagne, Upperkut a voulu ramener le sujet de l’éducation au devant de la scène. Après tout, il s’agit de nos enfants et de leur futur. Il faut en discuter collectivement. 

Pour découvrir le plan pour un réseau scolaire commun, consultez : ecoleensemble.com/reseaucommun

Équiterre et Upperkut déboulonnent les mythes sur les VUS

Équiterre a mandaté l’agence Upperkut en vue d’une offensive publicitaire dont l’objectif est de sensibiliser les Québécoises et Québécois aux nombreuses conséquences que le choix d’un gros véhicule peut entraîner.

Les messages publicitaires, déclinés pour les médias sociaux et la radio, identifient plusieurs éléments problématiques qu’engendre l’ajout d’un véhicule plus imposant, comme un véhicule utilitaire sport (VUS), sur nos routes. Le mot-clic #pasdeVUSpourmoi est utilisé pour identifier la campagne.

Équiterre souhaitait communiquer les conséquences réelles de la prolifération des gros véhicules sur les routes du Québec. C’est pourquoi la campagne s’adresse à ceux et celles qui pensent potentiellement s’acheter un gros véhicule comme un VUS, afin de les convaincre d’opter pour une autre option de mobilité.

Pour Upperkut, il était primordial de ne pas culpabiliser les acheteurs potentiels de VUS, mais plutôt de les faire sourire, puis, réfléchir. En effet, les recherches menées par Équiterre, ainsi que les groupes de discussion que l’agence a animés avec des consommateurs potentiels de VUS, ont bien indiqué que les messages alarmistes ou moralisateurs ne seraient pas efficaces auprès de notre public cible. D’où clins d’oeils humoristiques de la campagne qui suscitent une réflexion sur les vrais besoins en lien avec l’achat d’un véhicule.

Pour consulter et partager le matériel de campagne : equiterre.org/fr/initiatives/pas-de-vus-pour-moi

L’Anonyme et Upperkut ont un autobus à vendre

L’organisme L’Anonyme, dont la mission consiste à promouvoir des comportements sécuritaires et des relations égalitaires ainsi que prévenir la transmission des infections transmissibles sexuellement ou par le sang (ITSS), a mandaté l’agence pour sa campagne de financement qui a pour objectif d’amasser 500 000 $ pour remplacer l’autobus d’intervention de l’organisme. 

L’autobus en question offre un service unique et essentiel dans les rues de Montréal. Pour le financer, l’agence a développé la campagne AUTOBUS À VENDRE. Le concept mise sur les codes associés aux annonces automobiles et sur un ton subversif pour attirer l’attention sur la mission de l’organisme tout en rappelant aux gens que l’objectif à atteindre n’est pas anodin. 

Visuellement, la campagne s’inspire de l’identité de marque de L’Anonyme en soulignant à gros traits son côté street et non-conventionnel. 

La campagne, déclinée en affichage dans les rues de Montréal et en contenu numérique, fait des clins d’oeil à différentes méthodes de mise en vente d’automobiles usagées, comme par exemple la défunte chaîne Télé-Achat, les affiches avec numéros de téléphone détachables et la publicité dans les journaux et circulaires. L’humoriste Arnaud Soly prête d’ailleurs sa voix (et sa flûte !) à la vidéo de campagne qui circule présentement sur les médias sociaux. 

Pour consulter le matériel de campagne et faire un don : autobusavendre.ca

Le « Je ne suis pas raciste, mais… » des applications de rencontre : Upperkut et RÉZO lancent une campagne choc

« T’es Noir, tu devrais avoir une grosse graine. » « Les Asiatiques, ce sont les meilleurs bottoms. » « Les Noirs, ce sont tous des étalons. » Ce sont quelques-unes des phrases choc d’une nouvelle campagne contre le racisme sexuel, signée Upperkut pour le compte de RÉZO, un organisme communautaire sans but lucratif montréalais actif depuis 1991 auprès des hommes gais ou bisexuels, et hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH), qu’ils soient cis ou trans.  

Cette campagne, résolument placée sous le signe de l’audace, aborde de front le sujet sensible du racisme sexuel, qui se manifeste lorsqu’on accorde des propriétés sexuelles particulières à des personnes racisées. 

Cette campagne unique en son genre ira là où le public cible  se retrouve – sur les sites de rencontre bien connus Grindr et Scruff et dans les bars du Village – là où les stéréotypes et préjugés ethnosexuels concernant la taille du pénis ou les performances sexuelles des hommes racisés GBTQ+ sont exprimés.

Upperkut est fière de contribuer à changer les comportements et ouvrir les esprits. Pour développer le message, l’agence a travaillé avec un groupe d’hommes racisés qui avaient tous vécu du racisme sexuel. La campagne audacieuse utilise le niveau de langage et le vocabulaire propres aux bars et aux applications de rencontre.

Pour consulter le site web de la campagne : www.rezosante.org/racisme-sexuel

Même si c’est de la job, le travail, ça doit se faire en français.

Nous sommes fiers d’avoir lancé, à l’occasion de la Francofête 2022, une campagne numérique et d’affichage en milieu de travail pour le compte de la FTQ afin de rappeler au grand public qu’au Québec, travailler en français, c’est un droit. 

Pour notre partenaire Gilles Grondin, responsable du service de la francisation à la FTQ, « cette nouvelle campagne permet à notre centrale syndicale d’entreprendre un nouveau cycle de promotion du français au travail orienté sur l’exercice de ce droit et sur la fierté d’utiliser des expressions en français. »

Il rappelle au passage que le droit de travailler en français est inscrit dans la Charte de la langue française adoptée en 1977 par l’Assemblée nationale du Québec. 

L’idée de la campagne est née d’un travail de recherche sur les meilleures manières de faire la promotion du français auprès du grand public. Les groupes de discussion ont souvent évoqué ressentir un malaise face aux campagnes moralisatrices. À ce titre, la campagne rappelle aux gens que l’enjeu, ce n’est pas les petits anglicismes qui se glissent dans les conversations au quotidien. L’important, c’est que toutes les Québécoises et tous les Québécois puissent exercer leur droit de travailler en français.

Fait inusité pour une campagne de promotion du français, ses quatre exécutions utilisent un anglicisme afin d’attirer l’attention du grand public, tout en offrant le mot en français approprié pour un contexte de travail.

Pour en savoir plus, cliquez ici

C’est pas juste un cancer de matante

C’est pas juste un cancer de matante

Avec la Fondation cancer du sein du Québec, nous avons lancé la campagne
« C’est pas juste un cancer de matante », une campagne de sensibilisation 360 destinée aux jeunes femmes québécoises de 30 à 49 ans.

La campagne a pour objectif de sensibiliser les femmes aux risques de développer un cancer du sein à un jeune âge, et les encourage à s’informer pour reconnaître les signes et symptômes du cancer du sein. 

L’idée du référent populaire « matante » qui sert de socle créatif à la campagne et qui inspire les univers visuels liés à la broderie ou aux soutien-gorge est née d’une séance de co-création avec la Fondation. C’est donc en combinant l’expertise en création publicitaire percutante de l’agence et la fine connaissance des enjeux et de la cible de la Fondation qu’est née l’idée maîtresse de la campagne.

Pour en savoir plus : https://rubanrose.org/observe-tes-seins-pas-trop-jeune/

Le SFPQ veut faire bouger le gouvernement québécois

Le SFPQ veut faire bouger le gouvernement québécois

À un an des élections générales québécoises, le SFPQ a mandaté l’agence Upperkut pour une campagne de communication ayant pour objectif de faire connaître au grand public l’état de la négociation entre le syndicat et le gouvernement du Québec.

Alors que la plupart des organisations syndicales du secteur public s’étaient entendues avec le gouvernement, les fonctionnaires du SFPQ étaient toujours sans entente et considéraient que les négociations étaient au point mort. Les employé.e.s de la fonction publique, en tant que piliers du fonctionnement de l’État, souhaitaient mettre la lumière sur les risques engendrés par la pénurie de main-d’œuvre combinée à l’absence de conditions de travail dignes au sein de l’appareil public.

L’agence a donc proposé une campagne qui tissait un lien entre la pénurie de main-d’œuvre, les conditions de travail déficientes au sein de la fonction publique québécoise, les services essentiels donnés par l’État et la négociation en cours.

La campagne a été diffusée en bannières web, en contenu sur les médias sociaux ainsi qu’à la radio.

La section locale 4511 d’Unifor, un syndicat au service des travailleurs et travailleuses des petites entreprises depuis 1962, se refait une beauté.

La section locale 4511 d’Unifor, un syndicat au service des travailleurs et travailleuses des petites entreprises depuis 1962, se refait une beauté.

La section locale 4511 d’UNIFOR a collaboré avec Upperkut afin de se doter d’une nouvelle identité visuelle et d’un nouveau site web. Les deux mandats ont été
réalisés de manière successive afin mettre de l’avant l’adaptabilité du syndicat devant les nouvelles tendances stylistiques du web.

«Le syndicat national Unifor devait faire partie intégrante de la nouvelle identité. Notre mission était donc de trouver une façon à la fois astucieuse et esthétique de
conserver un air de famille, d’où le bouclier. La clé anglaise, quant à elle, s’inspire du traitement graphique de la marque Unifor et – petit clin d’œil – on peut y déceler un U. Le site web, que nous avons revu de A à Z, devait également communiquer un sentiment de force et de solidité avec une palette minimaliste et audacieuse», explique Simon Bousquet, directeur artistique et designer de la nouvelle identité visuelle.

À propos du Local 4511
Le Local 4511 représente 1 600 membres provenant de 72 concessionnaires automobiles. Les membres proviennent de la grande région de Montréal (Montréal, Laurentides et Montérégie), de Lanaudière et de la Mauricie.

Qu’est-ce qui motivera ton choix?

Qu’est-ce qui motivera ton choix?

Au cours des deux prochaines années, tu comptes acquérir ou louer un véhicule utilitaire sport, on veut t’entendre! Inscris-toi à l’incubateur et fais partie d’un groupe de discussion. La rémunération est de 100 $ par séance de 75 minutes. La date limite pour soumettre ta candidature pour l’incubateur sur les VUS  est le 26 janvier 2022

C’est ici!
L’incubateur d’Upperkut

Un collectif syndical uni pour la hausse du salaire minimum à 18$ de l’heure

Un collectif syndical uni pour la hausse du salaire minimum à 18$ de l’heure

Upperkut a eu la confiance d’un regroupement syndical pour développer un visuel phare afin appuyer la campagne de revendication visant à faire augmenter le salaire minimum à 18$ de l’heure. La coalition regroupe la CSD, la CSQ, la CSN, la FTQ, l’APTS, le SFPQ, le SPGQ, la CTI, le Collectif pour un Québec sans pauvreté et le FDNS. 

Il y a quelques années à peine, l’objectif de ces organisations syndicales était le salaire minimum à 15$ l’heure. Or, avec la montée de l’inflation et du coût de la vie, force est de constater que ce montant n’est plus suffisant. C’est pourquoi le collectif revendique maintenant une augmentation du salaire minimum à 18$.

De pair avec le regroupement, Upperkut a développé le visuel pour les outils de communication qui seront présents sur le web, la documentation officielle et lors des sorties officielles. ​​«Nous avons développé un visuel avec de l’impact et qui peut rester pertinent dans le temps. Oui, le chiffre est important, mais nous voulions également placer l’humain au cœur de la campagne», d’expliquer Marc Desnoyers, directeur du service-conseil à l’agence.

Puisque les actions de communication du regroupement se poursuivront au fil des mois et des années à venir et s’adapteront en fonction de l’évolution du contexte économique, le visuel devait offrir flexibilité et adaptabilité au collectif. C’est mission accomplie pour l’agence!

Finautonome veut augmenter l’adhésion des Québécois.es en situation de handicap aux programmes d’aide financière auxquels ils.elles ont droit

Finautonome veut augmenter l’adhésion des Québécois.es en situation de handicap aux programmes d’aide financière auxquels ils.elles ont droit

Finautonome a mandaté l’Agence UPPERKUT pour la mise en œuvre d’une campagne de communication visant à informer les Québécois.ses des programmes d’aide financière pour les personnes en situation de handicap. Ces programmes existent pour aider à compenser les dépenses additionnelles inévitables que d’autres contribuables n’ont pas à affronter tout au long de leur vie et à atteindre une autonomie financière permettant de compenser le handicap.

Selon Marc Desnoyers, directeur de compte chez Upperkut : « Le défis de la campagne repose sur la difficulté de rejoindre des personnes qui ne se reconnaissent pas sous l’étiquette de personnes handicapées ou invalides, et ne savent pas que leurs problèmes de santé pourraient être admis en vertu des programmes gouvernementaux existants. »

Le message principal : Ton état de santé te pose des défis au quotidien, tu as accès à des mesures financières pour t’aider interpelle les Québécois.ses qui ont des problèmes de santé persistants et chroniques qui ont un impact dans leur vie au quotidien.

La campagne se décline à travers une vidéo explicative sur les outils financiers que sont le Crédit d’impôt pour personnes handicapées (CIPH) et le Régime d’épargne enregistré-invalidité (REEI), une série de contenu déployée sur les réseaux sociaux, en affichage dans le transport en commun et la production d’outils promotionnels : bannières-web, dépliants, etc.

La campagne est soutenue par un plan média et une offensive de relations de presse ciblée. Elle sera adaptée pour rejoindre dans une deuxième et troisième phase, les professionnels de la santé et de la finance, ainsi que le milieu scolaire.

À propos de Finautonome

Fondé en 2019, Finautonome a pour mission de favoriser une plus grande autonomie financière des personnes en situation de handicap. L’ONG entend jouer un rôle essentiel sur la place publique pour débattre et faire connaître les enjeux complexes et fondamentaux liés aux finances et handicap de manière à contribuer à l’évolution d’une société plus juste et inclusive.

La FTQ, CSQ, et CSN s’unissent pour le 25e anniversaire de la Loi sur l’équité salariale

La FTQ, CSQ, et CSN s’unissent pour le 25e anniversaire de la Loi sur l’équité salariale

L’agence Upperkut a développé une campagne réseaux sociaux permettant aux trois organisations syndicales de célébrer de manière concertée l’anniversaire de la loi tout en mettant de l’avant des messages politiques actuels concernant l’égalité entre les femmes et les hommes.

Depuis son adoption en 1996, la Loi sur l’équité salariale a transformé la façon dont le droit à l’équité salariale est protégé au Québec. C’est grâce à l’adoption de cette loi que les travailleuses n’ont plus à se défendre seules ni à débourser des frais pour faire valoir leurs droits.

Pour le milieu syndical, cette campagne publicitaire est d’une grande importance puisqu’elle permet, dans un contexte de relance économique, de rappeler que la Loi sur l’équité salariale reste un objectif inachevé. L’anniversaire souligne qu’il reste du travail à faire sur la loi afin d’atteindre l’objectif qui en est à l’origine : des salaires égaux pour des emplois équivalents.

La campagne a comme message principal la célébration du 25e anniversaire de la loi et se déploie de sorte à rappeler qu’il reste du travail à faire afin de mettre fin aux iniquités :

«Nous voulions une création festive et ludique qui attire l’oeil par l’utilisation d’illustrations aux couleurs vives, et qui contraste avec certains de nos messages chocs. Le style illustratif est d’inspiration grassroots américain, un style qui colle bien aux plateformes comme Instagram.» indique Catherine Aumais, directrice de compte chez Upperkut.

Réfléchie et développée spécifiquement pour les réseaux sociaux, la campagne a été déclinée en divers formats de publications pour rappeler à notre auditoire que les femmes unissent leurs voix, non seulement pour rappeler la nécessité de la loi, mais surtout les nombreux défis qu’il reste à relever.