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Upperkut lance son incubateur

Upperkut lance son incubateur

L’agence dévoile son nouvel outil de réflexion stratégique et de création.

Entre la séance de création collective et le focus group, L’incubateur d’Upperkut permettra aux clients de l’agence d’obtenir des vérités liées au vécu des consommateurs en réunissant des groupes d’intérêts qui ont une vision rafraichissante de leurs milieux de travail et de vie. Surtout, l’incubateur regroupera des personnes qui n’ont pas la langue dans leur poche.

Pour l’agence et ses clients, L’incubateur d’Upperkut est une expérience unique où l’on place le réel sur la table à dessin. Sujets sensibles, produits innovants et campagnes enlevantes : voilà ce qui attend les participants !

« L’incubateur, c’est une nouvelle façon pour nous d’orienter notre création, explique Serge Leathead, président d’Upperkut. Notre équipe est fière de lancer cette nouvelle initiative, d’autant plus que son premier mandat est de réfléchir sur le français, une cause qui nous passionne. »

 

Réunis en ligne, les participants seront appelés à se prononcer sur une question lors d’une séance d’idéation dirigée. Certains candidats participeront ensuite à la création de contenus, orientés par les constats dressés. Esprits créatifs et experts, de même que parties prenantes seront invités par l’agence à se joindre à la conversation pour mener à des contenus créatifs, porteurs et engageants.

Le premier mandat de L’incubateur d’Upperkut consiste à réaliser une campagne de promotion du français en milieu de travail auprès des jeunes de 18 à 35 ans. Les groupes aborderont la question de la langue dans quatre secteurs, soient le commerce de détail, le tourisme, les hautes technologies et le jeu vidéo ainsi que les entreprises manufacturières.

Rendu possible grâce à la contribution financière de l’Office québécois de la langue française, ce projet, par son approche innovante, apportera un vent de fraîcheur dans les campagnes de promotion du français destinées aux millénariaux et à la génération Z en leur donnant la parole et en leur permettant de s’exprimer sur la question avant même que la campagne ne soit réalisée.

Pour sa campagne d’appel à la participation, Upperkut a mandaté quatre illustratrices. Camille Charbonneau, Cécile Gariépy, Valérie Gaudreault-Guilbert et Geneviève Lebleu ont été invitées à interpréter la question du français au travail dans chacun des secteurs ciblés.

 

Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail
Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail

Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail

Une campagne numérique et une séance en direct pour la première du documentaire.

Upperkut lançait, le 11 mai dernier, une campagne pour la sortie du film produit par la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ) et Casadel Films sur la francisation des personnes immigrantes au travail. C’est à l’occasion de la journée internationale du vivre-ensemble en paix du 16 mai dernier que la FTQ invitait les gens à la première de « Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail ». Cette séance en direct s’est tenue via un événement Facebook et a également généré une discussion sous forme de webinaire avec l’équipe de production et de plusieurs protagonistes du documentaire.

«Langue à l’ouvrage», ce sont les histoires d’Ingrid, de Jymer, de Mario et d’Omar qui, avec leur courage et leur motivation, sont devenus des modèles de persévérance. Aidés dans leur démarche par des syndicalistes, des enseignantes et des employeurs, ils parviendront avec dignité à «migrer vers le français».

«À la FTQ, on voulait montrer la réalité de travailleuses et travailleurs immigrants dans leur apprentissage du français, les retombées positives occasionnées par cet enseignement de même que l’implication des syndicats locaux dans ces milieux de travail. Avec Alexis Chartrand et Patrick Francke-Sirois de Casadel films, on a collaboré avec différents acteurs du milieu, un peu partout au Québec pendant 2 ans pour produire ce documentaire sur le phénomène du français comme agent liant des communautés, au travail comme à l’épicerie (…). On a choisi l’agence Upperkut afin de nous aider à trouver une identité et une stratégie de diffusion adaptée à la nature du film et à la situation actuelle. Ultimement, on voulait mettre le travail de ces personnes-là en valeur» mentionne Gilles Grondin, conseiller syndical au service de la francisation de la FTQ.

La campagne promotionnelle, planifiée en mars dernier, se déploie en ce moment du 11 mai au 30 mai prochain avec une bande-annonce, des capsules vidéo en formats pré-roll et du contenu pour les médias sociaux. «Dans le cadre du COVID-19, il a fallu réimaginer la campagne et la façon dont on allait s’y prendre pour s’assurer que les gens soient au rendez-vous lors du lancement. D’une projection en salle prévue au départ, la solution d’une première en direct sur Facebook s’est vite trouvée dans la collaboration avec la FTQ et Casadel. Toute l’équipe a été super généreuse et on a pu, je l’espère, favoriser le partage de cette œuvre documentaire» affirme Jean-François Tremblay, chargé du projet chez Upperkut. La webdiffusion du documentaire se poursuit jusqu’au 30 mai 2020 sur les plateformes de la FTQ (chaîne YouTube et site web).

Visionner la bande-annonce et les capsules

Visionner le documentaire

Voir le cancer du sein avec audace

Voir le cancer du sein avec audace

Upperkut signe une campagne qui frappe pour attirer l’attention sur la Fondation du cancer du sein du Québec

En collaboration avec l’agence upperkut, la Fondation cancer du sein du Québec lance une grande campagne pour attirer l’attention du public sur les bienfaits de son travail.

«Nous sommes très fiers du travail d’Upperkut sur cette campagne audacieuse qui marquera les esprits. L’utilisation de termes normalement proscrits pour parler du corps de la femme attire l’attention et permet de jouer avec l’effet de choc des gens pour parler d’un sujet encore trop banalisé. C’est exactement ce qu’on voulait faire», affirme Marie-Pier Cornellier, chargée de communication et de relations de presse. Le mandat pour upperkut était de créer et développer une grande campagne incluant un visuel percutant et un slogan accrocheur, en français et en anglais, afin de présenter toute l’offre de service de la Fondation et d’inciter la population à être un allié des femmes touchées par le cancer du sein.

La campagne, déployée aux quatre coins du Québec et orientée autour de mots normalement choquants, permet de rapidement capter l’attention afin d’en profiter pour présenter les initiatives uniques mises en place par la Fondation cancer du sein du Québec. La Fondation est présente à tous les niveaux de la prévention au financement de la recherche, en passant bien sûr par le soutien direct aux patientes et leur famille.

«Les statistiques qui concernent le cancer du sein sont choquantes en elles-mêmes. Nous trouvons donc essentiel de jouer avec ce sentiment de colère, puis de le transformer en mouvement positif vers la Fondation, celui de donner pour soutenir ses actions.» déclare Joëlle Tremblay-Leblond

En plus des abribus, la campagne est orientée autour de bannières web, d’animation pour les réseaux sociaux ainsi que de messages radio lus par Mitsou Gélinas, porte-parole de la Fondation. Notons aussi l’utilisation d’oriflammes qui marquent le coup de la campagne en modifiant les saints de grandes rues montréalaises en seins. Une manière percutante de présenter la Fondation comme étant au cœur de la vie des Québécoises et
des Québécois.

Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension passe au 30 km/h

Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension passe au 30 km/h

Si vous avez circulé dans l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension ces derniers mois, vous aurez sans doute aperçu une campagne publicitaire, conçue par Upperkut, qui rappelle aux automobilistes de ne pas dépasser les 30 km/h dans les rues du quartier. Cette campagne, visible entre autres dans les abribus et sur certains panneaux d’affichages électroniques du quartier, présente un odomètre qui ne dépasse pas la nouvelle limite de vitesse de 30 km/h. Les réseaux sociaux ont également été mobilisés et des bannières web ont été produites.

«On sait que les élu.e.s de la Ville de Montréal, et tout particulièrement celles et ceux de l’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, font de la sécurité des piétons et des cyclistes une priorité, tout en préservant la mobilité. L’objectif est de réduire à zéro le nombre de victimes d’accidents graves ou mortels dans le quartier. La campagne que nous avons élaborée devrait contribuer à sensibiliser les usagers du réseau routier et amener un changement de comportement. On ne transige pas avec la sécurité des personnes les plus vulnérables», explique Marc Desnoyers, directeur du compte à l’agence.

Un magazine qui fait une réelle différence depuis 25 ans

Un magazine qui fait une réelle différence depuis 25 ans

Dans le cadre du 25e anniversaire du magazine, le groupe communautaire L’Itinéraire lance une toute nouvelle vidéo publicitaire, signée Upperkut. Diffusée lors des matchs de la Coupe Charade du Théâtre de la LNI au Club Soda, la capsule est également présentée sur les réseaux sociaux pour attirer l’attention du grand public sur la raison d’être du magazine, le travail des camelots ainsi que la mission de l’organisme.

«C’est une année importante pour le magazine L’Itinéraire, souligne le directeur général de l’organisme Luc Desjardins. Le message principal de la vidéo brille par sa clarté: acheter un magazine L’Itinéraire, ça aide à changer des vies pour vrai. Les citoyennes et les citoyens ont ce pouvoir-là. À chaque fois, c’est le camelot qui en sort gagnant. On est bien fiers du travail accompli par le magazine jusqu’ici et on veut que ça continue pour les 25 et même les 50 prochaines années. On fait une différence dans la vie des gens comme Jean-Claude Nault, Lynn Champagne, Isabelle Raymond et Samir Halaimia, tous camelots à L’Itinéraire, et qui se sont d’ailleurs prêtés au jeu pour la capsule vidéo.»

«J’ai beaucoup aimé l’expérience. Les gens d’Upperkut nous ont traité comme de vraies vedettes, souligne Isabelle, camelot à la station Jolicoeur. Je suis fière du résultat et je trouve que c’est une belle visibilité pour L’Itinéraire.»

Une production signée Upperkut
Élizabeth Brosseau, gestionnaire de projet chez Upperkut, rappelle que l’alliance avec L’Itinéraire est naturelle et s’inscrit en continuité du partenariat déjà amorcé: «Ici, chez nous, tout le monde veut contribuer à soutenir la mission de l’organisme. On a fait le choix de réaliser une vidéo avec une légère touche humoristique, pour bien situer la vocation sociale qu’offre le magazine L’Itinéraire par rapport à toutes les autres publications dites plus légères qui existent dans le marché des revues. L’objectif était de mettre l’accent sur la vocation à échelle humaine de l’organisme. Ça fait 25 ans que le magazine fait une réelle différence chez les personnes en situation de précarité, et on veut que ça continue.»

La capsule publicitaire est diffusée du 11 février au 13 mai 2019 lors des matchs de la LNI et est mise de l’avant sur les réseaux sociaux de L’Itinéraire. La capsule est également disponible YouTube.

À propos de L’Itinéraire
Le groupe communautaire L’Itinéraire s’est donné pour mission d’accompagner des personnes marginalisées, exclues du marché traditionnel du travail, ayant connu l’itinérance, la dépendance ou souffrant de problèmes de santé mentale. Au fil des ans, environ 2500 personnes ont amélioré leur qualité de vie par la rédaction et la vente du magazine de rue montréalais.

LE SEXE DANS LA PUB

DieselAD

La marque italienne DIESEL lance une nouvelle campagne pour promouvoir leur ligne de sous-vêtements. Des images provocatrices, à caractère sexuel, font l’objet de cette campagne qui rejoint étroitement le look American Apparel : Ados trash et nudité cheap. Si le sexe dans les pubs aide à vendre, la frontière entre pornographie et sex appeal s’amincit d’année en année.

En 2005 une étude démontrait que des filles representées de manière sexy influencent la vente de produit chez 48% les hommes, contre seulement 8% chez les femmes dont l’intention d’achat se trouve considérablement réduit. Toutefois, la mémorisation des annonces à caractère sexuel est reste moins bonne que celles traditionnelles, ceci  autant chez les femmes que chez les hommes. L’usage de l’image sexuelle dans la publicité a été critiqué et controversé sur plusieurs aspects, mais aujourd’hui les arguments se compliquent.

L’image de la femme sexy (cheesecake) est utilisée depuis le début de la publicité, mais depuis quelques années il en est autant pour l’image de l’homme sexy (beefcake). Les hommes sont aussi dénudés que les femmes et de plus en plus jeune sans écarter les mouvements “androgyne” et “homo-érotique” dont Calvin Klein a été le premier à exploiter.

Cette nouvelle campagne de DIESEL soulève bien des questions, notamment la nature des messages véhiculés aux jeunes consommateurs ainsi que leurs influences sur notre société et son avenir. La célébration du sexe, de la drogue et de l’alcool dans les annonces qui ciblent une jeune audience en quête d’identité, devrait être interdite ou du moins sévèrement régularisée car elle est de nature immorale. Il y a eu de fortes réactions à l’égard de cette campagne et celle de American Apparel, principalement la colère chez les femmes et les parents.

En conclusion, aucune orginalité et tout simplement de mauvais goût.