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Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail
Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail

Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail

Une campagne numérique et une séance en direct pour la première du documentaire.

Upperkut lançait, le 11 mai dernier, une campagne pour la sortie du film produit par la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ) et Casadel Films sur la francisation des personnes immigrantes au travail. C’est à l’occasion de la journée internationale du vivre-ensemble en paix du 16 mai dernier que la FTQ invitait les gens à la première de « Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail ». Cette séance en direct s’est tenue via un événement Facebook et a également généré une discussion sous forme de webinaire avec l’équipe de production et de plusieurs protagonistes du documentaire.

«Langue à l’ouvrage», ce sont les histoires d’Ingrid, de Jymer, de Mario et d’Omar qui, avec leur courage et leur motivation, sont devenus des modèles de persévérance. Aidés dans leur démarche par des syndicalistes, des enseignantes et des employeurs, ils parviendront avec dignité à «migrer vers le français».

«À la FTQ, on voulait montrer la réalité de travailleuses et travailleurs immigrants dans leur apprentissage du français, les retombées positives occasionnées par cet enseignement de même que l’implication des syndicats locaux dans ces milieux de travail. Avec Alexis Chartrand et Patrick Francke-Sirois de Casadel films, on a collaboré avec différents acteurs du milieu, un peu partout au Québec pendant 2 ans pour produire ce documentaire sur le phénomène du français comme agent liant des communautés, au travail comme à l’épicerie (…). On a choisi l’agence Upperkut afin de nous aider à trouver une identité et une stratégie de diffusion adaptée à la nature du film et à la situation actuelle. Ultimement, on voulait mettre le travail de ces personnes-là en valeur» mentionne Gilles Grondin, conseiller syndical au service de la francisation de la FTQ.

La campagne promotionnelle, planifiée en mars dernier, se déploie en ce moment du 11 mai au 30 mai prochain avec une bande-annonce, des capsules vidéo en formats pré-roll et du contenu pour les médias sociaux. «Dans le cadre du COVID-19, il a fallu réimaginer la campagne et la façon dont on allait s’y prendre pour s’assurer que les gens soient au rendez-vous lors du lancement. D’une projection en salle prévue au départ, la solution d’une première en direct sur Facebook s’est vite trouvée dans la collaboration avec la FTQ et Casadel. Toute l’équipe a été super généreuse et on a pu, je l’espère, favoriser le partage de cette œuvre documentaire» affirme Jean-François Tremblay, chargé du projet chez Upperkut. La webdiffusion du documentaire se poursuit jusqu’au 30 mai 2020 sur les plateformes de la FTQ (chaîne YouTube et site web).

Visionner la bande-annonce et les capsules

Visionner le documentaire

L’expérience d’un nom et la fougue de la jeunesse pour L’OSTR

L’expérience d’un nom et la fougue de la jeunesse pour L’OSTR

Une campagne qui allie classe et humour pour l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières (OSTR) qui présente son nouveau chef Jean-Claude Picard.

L’Orchestre symphonique de Trois-Rivières lance, en collaboration avec upperkut, une campagne de notoriété intitulée «Un p’tit qui ?!» axée sur l’image de son chef et directeur artistique, Jean-Claude Picard.

Le mandat était clair: présenter l’orchestre comme un ensemble dynamique et accessible, bien ancré dans l’univers culturel de Trois-Rivières, et dévoiler son nouveau maestro.

«Malgré notre place enviable dans le palmarès des dix meilleurs orchestres symphoniques au Canada, nous avions besoin de faire connaître notre marque et notre nouveau chef Jean-Claude Picard au grand public, affirme Julie Leblanc, directrice des communications. Upperkut a su développer une plateforme créative qui allie humour, classe et information.»

Conçue pour être diffusée en deux temps, la campagne propose d’abord, avec un ton humoristique, de découvrir Jean-Claude Picard. En interrogeant directement les résidents de Trois-Rivières et de la Mauricie, l’OSTR et upperkut voulaient piquer la curiosité et alimenter la discussion à propos du jeune maestro. Dans une seconde phase, la campagne s’insère dans l’imaginaire trifluvien en s’inspirant entre autres de points d’intérêts locaux tels que l’usine de pâtes et papiers Kruger-Wayagamack et du populaire boulevard des Forges.

La collaboration avec la communauté de la Mauricie va plus loin encore. Upperkut et l’OSTR ont en effet travaillé avec un photographe de la région, Étienne Boisvert, qui était emballé de contribuer au projet qui servirait à revigorer l’image de cette institution culturelle.

«On voulait vraiment présenter l’OSTR et son nouveau chef comme faisant partie du paysage culturel de la Mauricie. Nous voulions jouer avec l’humour et des références locales, oui, mais aussi garder le côté élégant d’un orchestre symphonique. Le mariage crée un effet surprenant et efficace» explique Martin Cinq-Mars de l’équipe de création chez upperkut.

La campagne, diffusée en radio, en affichage extérieur, sur le web et les médias sociaux, se déploie depuis le 14 octobre et se poursuivra jusqu’à la mi-novembre.

Alice au pays des merveilles

Après ses grands succès comme Beetlejuice, Edward Scissorhands, Big fish et Corpse Bride, le visionnaire Tim Burton nous emporte une fois de plus dans son monde fantastique. Alice au pays des merveilles promet d’être une aventure magique et colorée ; Une adaptation cinématographique qui rendra sûrement justice à l’un des contes les plus envoûtants de tous les temps. Toujours avec sa spontanéité et versatilité indéniables, Johnny Depp incarne Mad Hatter aux côtés Mia Wasikowska (que l’on reconnaît de la série HBO “In Treament”) dans le rôle d’Alice.

De toutes les adaptations cinématographiques d’Alice au pays des merveilles, celle de Tim Burton reste la plus fidèle à l’univers peint par Charles Lutwidge Dodgson, connu sous le pseudonyme de Lewis Carroll. Les adaptations combinent souvent des éléments des deux livres, “Alice au pays des merveilles ” (1865) et sa suite “De l’autre côté du miroir ” (1871). Créatures anthropomorphes et excentriques, le livre regorge d’allusions satiriques aux amis de l’écrivain. Le style narratif de Carrol, connu sous le genre “literary nonsense”, jongle entre les conventions du langage, les règles de la logique et de la raison ainsi que des éléments d’absurdité. Carroll a été très influent dans le monde de la littérature particulièrement dans le genre fiction fantastique.

Alice au pays des merveilles est un conte qui a su inspirer l’art et qui continuera de nous émerveiller pendant longtemps.
Le 5 mars 2010, la folie et l’enchantement seront au rendez-vous…