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LitterLocker accorde un mandat stratégique à Upperkut

LitterLocker accorde un mandat stratégique à Upperkut

Les Développements Angelcare inc. mandatent Upperkut afin de revoir la présence numérique de sa marque LitterLocker à l’international, chef de file dans l’entretien de litières pour chats.

L’agence bâtira une stratégie de contenu qui se déploiera sur les plateformes sociales et certains canaux de la marque dont les principes seront également appliqués à de la gestion de communauté.

En partenariat avec l’équipe de LitterLocker, l’agence a amorcé une réflexion sur son positionnement et une stratégie qui permettra d’augmenter la notoriété de la marque en plus d’accroitre sa communauté de passionnés de chats sur les réseaux sociaux.

«Nous sommes emballés à l’idée de pouvoir contribuer au rayonnement de cette marque québécoise partout dans le monde, explique Marc Desnoyers, directeur service-conseil chez Upperkut. En plus d’être de formidables animaux de compagnie, les chats font partie intégrante de la culture du web, et nous avons hâte d’explorer cet univers.»

Upperkut lance son incubateur

Upperkut lance son incubateur

L’agence dévoile son nouvel outil de réflexion stratégique et de création.

Entre la séance de création collective et le focus group, L’incubateur d’Upperkut permettra aux clients de l’agence d’obtenir des vérités liées au vécu des consommateurs en réunissant des groupes d’intérêts qui ont une vision rafraichissante de leurs milieux de travail et de vie. Surtout, l’incubateur regroupera des personnes qui n’ont pas la langue dans leur poche.

Pour l’agence et ses clients, L’incubateur d’Upperkut est une expérience unique où l’on place le réel sur la table à dessin. Sujets sensibles, produits innovants et campagnes enlevantes : voilà ce qui attend les participants !

« L’incubateur, c’est une nouvelle façon pour nous d’orienter notre création, explique Serge Leathead, président d’Upperkut. Notre équipe est fière de lancer cette nouvelle initiative, d’autant plus que son premier mandat est de réfléchir sur le français, une cause qui nous passionne. »

 

Réunis en ligne, les participants seront appelés à se prononcer sur une question lors d’une séance d’idéation dirigée. Certains candidats participeront ensuite à la création de contenus, orientés par les constats dressés. Esprits créatifs et experts, de même que parties prenantes seront invités par l’agence à se joindre à la conversation pour mener à des contenus créatifs, porteurs et engageants.

Le premier mandat de L’incubateur d’Upperkut consiste à réaliser une campagne de promotion du français en milieu de travail auprès des jeunes de 18 à 35 ans. Les groupes aborderont la question de la langue dans quatre secteurs, soient le commerce de détail, le tourisme, les hautes technologies et le jeu vidéo ainsi que les entreprises manufacturières.

Rendu possible grâce à la contribution financière de l’Office québécois de la langue française, ce projet, par son approche innovante, apportera un vent de fraîcheur dans les campagnes de promotion du français destinées aux millénariaux et à la génération Z en leur donnant la parole et en leur permettant de s’exprimer sur la question avant même que la campagne ne soit réalisée.

Pour sa campagne d’appel à la participation, Upperkut a mandaté quatre illustratrices. Camille Charbonneau, Cécile Gariépy, Valérie Gaudreault-Guilbert et Geneviève Lebleu ont été invitées à interpréter la question du français au travail dans chacun des secteurs ciblés.

 

Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail
Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail

Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail

Une campagne numérique et une séance en direct pour la première du documentaire.

Upperkut lançait, le 11 mai dernier, une campagne pour la sortie du film produit par la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ) et Casadel Films sur la francisation des personnes immigrantes au travail. C’est à l’occasion de la journée internationale du vivre-ensemble en paix du 16 mai dernier que la FTQ invitait les gens à la première de « Langue à l’ouvrage – Migrer vers le français au travail ». Cette séance en direct s’est tenue via un événement Facebook et a également généré une discussion sous forme de webinaire avec l’équipe de production et de plusieurs protagonistes du documentaire.

«Langue à l’ouvrage», ce sont les histoires d’Ingrid, de Jymer, de Mario et d’Omar qui, avec leur courage et leur motivation, sont devenus des modèles de persévérance. Aidés dans leur démarche par des syndicalistes, des enseignantes et des employeurs, ils parviendront avec dignité à «migrer vers le français».

«À la FTQ, on voulait montrer la réalité de travailleuses et travailleurs immigrants dans leur apprentissage du français, les retombées positives occasionnées par cet enseignement de même que l’implication des syndicats locaux dans ces milieux de travail. Avec Alexis Chartrand et Patrick Francke-Sirois de Casadel films, on a collaboré avec différents acteurs du milieu, un peu partout au Québec pendant 2 ans pour produire ce documentaire sur le phénomène du français comme agent liant des communautés, au travail comme à l’épicerie (…). On a choisi l’agence Upperkut afin de nous aider à trouver une identité et une stratégie de diffusion adaptée à la nature du film et à la situation actuelle. Ultimement, on voulait mettre le travail de ces personnes-là en valeur» mentionne Gilles Grondin, conseiller syndical au service de la francisation de la FTQ.

La campagne promotionnelle, planifiée en mars dernier, se déploie en ce moment du 11 mai au 30 mai prochain avec une bande-annonce, des capsules vidéo en formats pré-roll et du contenu pour les médias sociaux. «Dans le cadre du COVID-19, il a fallu réimaginer la campagne et la façon dont on allait s’y prendre pour s’assurer que les gens soient au rendez-vous lors du lancement. D’une projection en salle prévue au départ, la solution d’une première en direct sur Facebook s’est vite trouvée dans la collaboration avec la FTQ et Casadel. Toute l’équipe a été super généreuse et on a pu, je l’espère, favoriser le partage de cette œuvre documentaire» affirme Jean-François Tremblay, chargé du projet chez Upperkut. La webdiffusion du documentaire se poursuit jusqu’au 30 mai 2020 sur les plateformes de la FTQ (chaîne YouTube et site web).

Visionner la bande-annonce et les capsules

Visionner le documentaire

L’expérience d’un nom et la fougue de la jeunesse pour L’OSTR

L’expérience d’un nom et la fougue de la jeunesse pour L’OSTR

Une campagne qui allie classe et humour pour l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières (OSTR) qui présente son nouveau chef Jean-Claude Picard.

L’Orchestre symphonique de Trois-Rivières lance, en collaboration avec upperkut, une campagne de notoriété intitulée «Un p’tit qui ?!» axée sur l’image de son chef et directeur artistique, Jean-Claude Picard.

Le mandat était clair: présenter l’orchestre comme un ensemble dynamique et accessible, bien ancré dans l’univers culturel de Trois-Rivières, et dévoiler son nouveau maestro.

«Malgré notre place enviable dans le palmarès des dix meilleurs orchestres symphoniques au Canada, nous avions besoin de faire connaître notre marque et notre nouveau chef Jean-Claude Picard au grand public, affirme Julie Leblanc, directrice des communications. Upperkut a su développer une plateforme créative qui allie humour, classe et information.»

Conçue pour être diffusée en deux temps, la campagne propose d’abord, avec un ton humoristique, de découvrir Jean-Claude Picard. En interrogeant directement les résidents de Trois-Rivières et de la Mauricie, l’OSTR et upperkut voulaient piquer la curiosité et alimenter la discussion à propos du jeune maestro. Dans une seconde phase, la campagne s’insère dans l’imaginaire trifluvien en s’inspirant entre autres de points d’intérêts locaux tels que l’usine de pâtes et papiers Kruger-Wayagamack et du populaire boulevard des Forges.

La collaboration avec la communauté de la Mauricie va plus loin encore. Upperkut et l’OSTR ont en effet travaillé avec un photographe de la région, Étienne Boisvert, qui était emballé de contribuer au projet qui servirait à revigorer l’image de cette institution culturelle.

«On voulait vraiment présenter l’OSTR et son nouveau chef comme faisant partie du paysage culturel de la Mauricie. Nous voulions jouer avec l’humour et des références locales, oui, mais aussi garder le côté élégant d’un orchestre symphonique. Le mariage crée un effet surprenant et efficace» explique Martin Cinq-Mars de l’équipe de création chez upperkut.

La campagne, diffusée en radio, en affichage extérieur, sur le web et les médias sociaux, se déploie depuis le 14 octobre et se poursuivra jusqu’à la mi-novembre.

Voir le cancer du sein avec audace

Voir le cancer du sein avec audace

Upperkut signe une campagne qui frappe pour attirer l’attention sur la Fondation du cancer du sein du Québec

En collaboration avec l’agence upperkut, la Fondation cancer du sein du Québec lance une grande campagne pour attirer l’attention du public sur les bienfaits de son travail.

«Nous sommes très fiers du travail d’Upperkut sur cette campagne audacieuse qui marquera les esprits. L’utilisation de termes normalement proscrits pour parler du corps de la femme attire l’attention et permet de jouer avec l’effet de choc des gens pour parler d’un sujet encore trop banalisé. C’est exactement ce qu’on voulait faire», affirme Marie-Pier Cornellier, chargée de communication et de relations de presse. Le mandat pour upperkut était de créer et développer une grande campagne incluant un visuel percutant et un slogan accrocheur, en français et en anglais, afin de présenter toute l’offre de service de la Fondation et d’inciter la population à être un allié des femmes touchées par le cancer du sein.

La campagne, déployée aux quatre coins du Québec et orientée autour de mots normalement choquants, permet de rapidement capter l’attention afin d’en profiter pour présenter les initiatives uniques mises en place par la Fondation cancer du sein du Québec. La Fondation est présente à tous les niveaux de la prévention au financement de la recherche, en passant bien sûr par le soutien direct aux patientes et leur famille.

«Les statistiques qui concernent le cancer du sein sont choquantes en elles-mêmes. Nous trouvons donc essentiel de jouer avec ce sentiment de colère, puis de le transformer en mouvement positif vers la Fondation, celui de donner pour soutenir ses actions.» déclare Joëlle Tremblay-Leblond

En plus des abribus, la campagne est orientée autour de bannières web, d’animation pour les réseaux sociaux ainsi que de messages radio lus par Mitsou Gélinas, porte-parole de la Fondation. Notons aussi l’utilisation d’oriflammes qui marquent le coup de la campagne en modifiant les saints de grandes rues montréalaises en seins. Une manière percutante de présenter la Fondation comme étant au cœur de la vie des Québécoises et
des Québécois.

Le temps supplémentaire obligatoire (TSO) ne prend pas de vacances

Le temps supplémentaire obligatoire (TSO) ne prend pas de vacances

Une offensive estivale pour sensibiliser la population à la réalité des professionnelles en soins, signée upperkut.

La Fédération Interprofessionnelle de la Santé du Québec (FIQ) a lancé, en collaboration avec l’agence upperkut, une campagne de sensibilisation web qui montre les effets qu’a le recours au TSO dans le quotidien des professionnelles en soins du Québec.

«Nos membres sont épuisées. On parle de TSO depuis plusieurs années, et rien ne semble changer. Le 8 avril dernier, nous avons tenu une journée nationale de mobilisation, et rien n’a encore bougé. On veut donc profiter de l’été pour maintenir la pression et parler directement à la population, afin qu’elle comprenne et qu’elle appuie nos démarches pour mettre fin au TSO. Le TSO, ça a assez duré!», plaide Hugo Desgens, conseiller syndical à la FIQ et responsable de la campagne.

Cette campagne de sensibilisation populaire vise à faire pression sur le gouvernement du Québec afin qu’il respecte ses engagements envers les professionnelles en soins. Elle s’ajoute aux activités de mobilisation que la FIQ mène sur le terrain avec ses équipes locales tout au long de l’été.

«En misant sur cinq situations bien concrètes issues du quotidien des professionnelles en soins, notre objectif est de toucher les citoyens et les citoyennes et les faire réagir. Ce que les professionnelles en soins subissent au quotidien est innaceptable!», explique Marc Desnoyers, directeur du compte à l’agence.

Les cinq situations qui sont illustrées concernent les animaux de compagnie, les activités sportives des enfants, la présence familiale auprès des poupons, la décision d’avoir des enfants et la vie de couple.

La campagne se déploie en visuels statiques et animées sur Facebook, Instagram et en bannières programmatiques sur différents sites web partout au Québec.

À PROPOS DE LA FIQ
La FIQ est une organisation syndicale qui compte près de 76 000 membres infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes cliniques œuvrant dans les établissements de santé aux quatre coins du Québec. La FIQ est une organisation féministe, composée à plus de 90 % de femmes, vouée à la défense de ses membres, mais également à celle des patient-e-s et du réseau public de santé.

Priorité à la maternelle 4 ans, en milieu défavorisé.

Priorité à la maternelle 4 ans, en milieu défavorisé.

La Fédération autonome de l’enseignement (FAE) a lancé un spot, signé Upperkut, dans le cadre de sa campagne visant à sensibiliser la population et les élus de l’Assemblée nationale quant à l’importance de prioriser les milieux défavorisés pour l’instauration de nouvelles classes de maternelle 4 ans. 

Au cœur de la campagne, on trouve un spot qui nous présente le quotidien d’une mère et de son fils. En contrepoids, on entend un annonceur nous exposer les différents coûts qui rendent peu accessibles les services de gardes aux enfants en milieu défavorisé.

Ce spot est diffusé à la télévision et sur le web.

«Nous avons choisi de mettre des visages sur les personnes qui gagneraient le plus si le gouvernement priorisait les milieux défavorisés avec les nouvelles classes de maternelle 4 ans. Le ton du spot n’est pas dénonciateur ; il est tout simplement 
humain», explique Marc Desnoyers, directeur du compte à l’agence. 

Alors que le gouvernement souhaite déployer les classes de maternelle 4 ans de manière universelle, la FAE soutient plutôt qu’il faut poursuivre le déploiement des classes de maternelle 4 ans à temps plein en milieu défavorisé, là où se trouve une forte proportion d’enfants vulnérables. Ce spot, ainsi que les prises de position publiques de la FAE qui s’en sont ensuivies, mettent la table pour en arriver à une véritable politique publique pour le mieux-être des enfants québécois.

Pour visionner le spot, cliquez ici.

À PROPOS DE LA FAE
La FAE regroupe neuf syndicats qui représentent plus de 44 000 enseignantes et enseignants du préscolaire, du primaire, du secondaire, de l’enseignement en milieu carcéral, de la formation professionnelle, de l’éducation des adultes et le personnel scolaire des écoles Peter Hall et du Centre académique Fournier, ainsi qu’un millier de membres de l’Association de personnes retraitées de la FAE (APRFAE). Elle est présente dans sept régions : Montréal, Laval, Québec et Outaouais, dans lesquelles se trouvent les quatre plus grands pôles urbains du Québec, ainsi que dans les Laurentides, l’Estrie et la Montérégie.

La SPCA de Montréal souligne ses origines pour son 150<sup>e</sup> anniversaire

La SPCA de Montréal souligne ses origines pour son 150e anniversaire

La Société pour la prévention de la cruauté contre les animaux de Montréal (SPCA) lance une campagne signée Upperkut, en collaboration avec Consulat, pour célébrer son 150e anniversaire. Pour ce faire, la campagne évoque l’histoire de la Société en recréant des photos d’époque.

Upperkut a choisi, pour l’occasion, de rappeler le passé de la SPCA et de Montréal, en recréant des photos d’époque mettant en scène différents animaux: chien, coq et vache. L’objectif: démontrer que la SPCA protège tous les animaux.

«Nous avons voulu souligner le profond enracinement de la SPCA dans la communauté montréalaise depuis 150 ans. L’histoire de Montréal, c’est aussi l’histoire de notre relation avec les animaux, indispensables pendant de nombreuses années pour les travaux agricoles et pour se déplacer, souligne Elizabeth Brosseau, responsable du projet. C’est pourquoi nous avons tenu à mettre en valeur ce patrimoine méconnu à l’aide d’images fortes, parlantes et vraies.»

Les portraits mettent en scène trois employées. Élise Desaulniers, directrice générale de la SPCA de Montréal, indique que «la séance photo a permis de mobiliser et de mettre en valeur des membres de notre personnel dont le travail est souvent invisible. La SPCA a toujours puisée sa force au sein des membres de son équipe et c’est ainsi que l’organisation a traversé les cent cinquante dernières années. On trouvait important de mettre cet élément de l’avant.»

La campagne vivra sous plusieurs formats d’affichage extérieur, dans la presse écrite et sur les médias sociaux. Un livre qui raconte l’histoire de la SPCA paraitra également aux éditions Somme Toute le 7 mai prochain.

À PROPOS DE LA SPCA DE MONTRÉAL
À propos de la SPCA de Montréal – Fondée en 1869, la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (mieux connue maintenant sous l’appellation SPCA de Montréal) a été la première organisation vouée au bien-être animal au Canada. Célébrant cette année ses 150 ans, elle est aujourd’hui le plus grand organisme de protection des animaux au Québec, s’exprimant en leur nom partout où règne l’ignorance, la cruauté, l’exploitation ou la négligence.

À PROPOS DE CONSULAT
Consulat est une agence de création et de production visuelle fondée par des artistes. Ses photographes, réalisateurs et directeurs photo partagent une passion commune, celle de créer des images marquantes. La vision créative et singulière de ses équipes est toujours au premier plan de ses réalisations. Consulat offre des solutions de production complètes et modulables au service des idées.

8 mars – Journée internationale du droit des femmes

8 mars – Journée internationale du droit des femmes

Pour une 4e année, Upperkut signe le visuel de la Journée internationale des droits des femmes, sous la direction artistique de Sara Dubost-Délis.

Cette année marque la première fois où le Collectif 8 mars ajoute la mention «droit des femmes» au titre de la journée, auparavant nommée «Journée internationale des femmes». Ainsi, la conception retenue évoque davantage le caractère revendicateur de cette journée.

La ligne «Le respect, ça se manifeste» appelle les femmes à l’action, et les incite à poursuivre leurs luttes dans l’atteinte de l’égalité. La ligne est tout indiquée pour la journée du 8 mars, plusieurs manifestations ont lieu partout au Québec pour souligner la journée et pour faire avancer les revendications du Collectif.

Le mot manifeste prend également tout son sens au verso de l’affiche, puisqu’on y retrouve un manifeste pour le 8 mars.

L’élément visuel retenu, le poing combiné au symbole universel féministe, rappelle à son tour l’aspect revendicateur de la journée. Comme l’indique Sara Dubost-Délis: «Nous avons travaillé la texture de l’affiche pour la rendre vivante, comme si quelqu’un l’avait collée dans la rue. Cela accentue l’aspect manifestation du visuel.»

Le visuel produit compte de nombreuses déclinaisons: affiches, bannières, épinglettes, visuels pour les réseaux sociaux. Ces multiples déclinaisons, combinées à l’importance du Collectif 8 mars au Québec donnent une portée importante à la campagne et lui assurent une présence importante dans le paysage visuel québécois, tant dans l’espace physique que numérique.

À propos du Collectif 8 mars

Le Collectif 8 mars représente plus de 700 000 femmes au Québec. Il est formé de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS), de la Centrale des syndicats démocratiques (CSD), de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) et du Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ).

Passez à l’Est avec le CIUSSS!

Passez à l’Est avec le CIUSSS!

Afin de recruter de nouveaux talents au sein de son équipe, le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île-de-Montréal lance une nouvelle campagne publicitaire, signée par l’agence Upperkut. La campagne cherche à développer la marque employeur du CIUSSS en présentant son territoire, soit celui de l’Est de l’Île de Montréal, comme un milieu de vie agréable et stimulant. Avec ses 15 000 employés, le CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal est le plus grand employeur de cette région de l’agglomération montréalaise.

Sylvia Provost, directrice des ressources humaines, des communications et des affaires juridiques au CIUSSS, explique le choix du message pour la campagne de recrutement:
«La pénurie de main d’œuvre est une réalité qui affecte de nombreux employeurs, et c’est particulièrement vrai dans le domaine de la santé. On s’est donc posé la question: qu’est-ce qui nous différencie des autres employeurs? La réponse: le milieu de vie dans lequel on évolue. L’Est de Montréal est composé de quartiers paisibles et à échelle humaine.»

Le slogan retenu, «Passez à l’Est», fait directement référence à cet argument géographique. Serge Leathead, qui a dirigé la création pour la campagne, précise: «le slogan et le visuel moteur de la campagne devait faire comprendre simplement et rapidement que plus de 2 000 emplois sont disponibles, maintenant, dans l’Est de l’île. Nous avons opté pour un clin d’œil humoristique, une référence à l’époque de la Guerre froide, pour capter l’attention du grand public. L’Est est trop souvent négligée dans les conversations portant sur les quartiers de Montréal où il fait bon vivre ; on a donc voulu jouer sur cette perception pour inciter à la réflexion et à la discussion auprès du 
public cible».

La campagne, lancée le 14 janvier 2019, sera diffusée sur le web, en affichage extérieur, dans les transports en commun ainsi que dans certains établissements d’enseignement ciblés. Elle sera visible dans l’Est de Montréal ainsi que dans certaines municipalités de la rive-nord et de la rive-sud de Montréal.

À PROPOS DU CIUSSS DE L’EST-DE-L’ÎLE-DE-MONTRÉAL

Le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est compte 43 points de services à Montréal et rassemble les établissements suivants:

  • CSSS de la Pointe-de-l’Île
  • CSSS de Saint-Léonard et Saint-Michel
  • CSSS Lucille-Teasdale – CHSLD Polonais Marie-Curie-Sklodowska (anciennement Institut Canadien-Polonais du Bien-Être Inc.)
  • Hôpital Maisonneuve-Rosemont
  • Hôpital Santa Cabrini Ospedale
  • Institut universitaire en santé mentale de Montréal

 

Le CIUSSS exploite également les missions suivantes sur son territoire:

  • Centre de santé et de services sociaux
  • Centre hospitalier de soins généraux et spécialisés
  • Centre hospitalier de soins psychiatriques (mission régionale)
  • Centre d’hébergement de soins de longue durée
Continuons de nous battre pour nos conditions de travail, pour nos élèves et pour l’école publique.

Continuons de nous battre pour nos conditions de travail, pour nos élèves et pour l’école publique.

La Fédération autonome de l’enseignement (FAE) lance un nouveau message publicitaire, signé par l’agence Upperkut, qui vise à valoriser la profession enseignante. La campagne cherche à démontrer la grande résilience dont les profs font preuve dans l’exercice de leurs fonctions. Elle utilise la métaphore de l’arène de boxe afin d’illustrer les durs coups qui leur sont portés depuis plusieurs années.

«Le spot publicitaire présente une enseignante seule dans l’arène. Elle résiste aux critiques qu’elle reçoit à l’endroit de son travail, tout en restant debout, fière, digne et solide, comme tous les profs du Québec», explique Marc Desnoyers, directeur du compte à l’agence.

«Les enseignantes et les enseignants mènent, jour après jour, un inlassable combat pour donner une éducation de grande qualité aux jeunes du Québec. Avec cette campagne, nous tendons la main à la population pour lui demander d’appuyer les profs dans leur lutte pour des conditions de travail plus justes», précise Sylvain Mallette, président de la FAE.

Upperkut signe la conception et la production du message télé. La campagne sera diffusée en janvier à la télévision ainsi que sur le web.

Vous pouvez visionner la vidéo ici.

À PROPOS DE LA FAE

La FAE regroupe huit syndicats qui représentent près de 38 000 enseignantes et enseignants du préscolaire, du primaire, du secondaire, de l’enseignement en milieu carcéral, de la formation professionnelle, de l’éducation des adultes et le personnel scolaire des écoles Peter Hall et du Centre académique Fournier, ainsi qu’un millier de membres de l’Association de personnes retraitées de la FAE (APRFAE).

Suivez le courant. Passez à la voiture électrique!

Suivez le courant. Passez à la voiture électrique!

C’est sous le thème «Suivez le courant. Passez à la voiture électrique!» qu’Équiterre a lancé sa campagne de promotion de la voiture électrique et des Rendez-vous branchés 2018. La conception et le placement média de la campagne ont été confiés à l’agence Upperkut.

L’agence avait comme mandat de créer une plateforme de communication publicitaire permettant à Équiterre de cibler différents types d’automobilistes afin de les inciter à faire le choix de la voiture électrique.

«L’objectif était de montrer la diversité de l’offre en transport automobile électrique, afin que différentes clientèles se sentent interpellées, pour différentes raisons», a précisé Marc Desnoyers, directeur du compte à l’agence.

Trois sous-messages spécifiques ont donc été développés dans le cadre de la campagne:

Pour les automobilistes qui utilisent leur voiture pour travailler et qui perdent beaucoup de temps dans le trafic: «Gazé des bouchons de circulation? Passe à la voiture électrique et prends la voie réservée!»

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Pour les automobilistes qui trouvent que le prix de l’essence prend trop de place dans leur budget: «Tanné de brûler ton budget en essence? Passe à l’électrique.»

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Pour les automobilistes qui en ont assez d’envoyer une trop grande partie de leur budget aux compagnies pétrolières: «T’as ton voyage d’engraisser les pétrolières? Passe à l’électrique!»

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La campagne est diffusée à la radio, ainsi que sur le web et les médias sociaux.

Les deux spots radios mettent en vedette la porte-parole des Rendez-vous branchés, Christine Beaulieu. Diffusés aux heures de grande écoute sur une période de quatre semaines, les spots s’arriment aux messages développés sur le web et s’adressent directement aux automobilistes dans leur voiture.

Des bannières et animations vidéo diffusées via Google et Facebook mènent à la page promotionnelle du site web d’Équiterre et également à un concours, développé par Équiterre en partenariat avec Radio-Canada.

«Avec cette campagne, nous pensons qu’Équiterre sera en mesure de rendre la voiture électrique plus attrayante pour des catégories d’automobilistes qui, par le passé, ont été moins enclines à faire ce choix», a pour sa part conclu Ryan Worms, directeur des communications chez Équiterre.

 

Une campagne pour stopper l’hémorragie

Une campagne pour stopper l’hémorragie

Cet automne, Upperkut a reçu le mandat de créer pour l’Alliance de la Fonction publique du Canada (ACFP) une campagne multiplateforme déployée d’un océan à l’autre qui s’adresserait aux citoyennes et citoyens à la veille du déclenchement de la campagne électorale. La campagne visait à sensibiliser les électeurs et électrices sur les conséquences d’une réélection des conservateurs.

Voyez le microsite ici.

La création a été déclinée en spots radio, en imprimé dans les journaux, sur les panneaux routiers (billboards) et finalement sur le Web en général.

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En plus de jouir d’une bonne visibilité dans les médias traditionnels, la campagne s’est démarquée grâce à l’accent mis les médias sociaux. Bien que la campagne s’adressait à tous les Canadiennes et Canadiens, un ciblage a été effectué afin de rejoindre certains marchés plus spécifiques où les enjeux traités étaient plus importants.

L’agence a su utiliser Google, Twitter, Facebook et YouTube afin de cibler des municipalités et des villes partout au Canada où on devait sensibiliser la population à des enjeux spécifiques.
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Avec un placement d’une précision chirurgicale, la première phase de la campagne a permis à une vidéo d’être vue par plus de 3 millions de personnes dans ses versions française et anglaise, soit par près d’un Canadien sur 10 lorsque l’on tient compte du ciblage géographique.

Une grande quantité de contenu a été créée tout au long de la campagne spécifiquement sur Facebook en fonction des enjeux et les résultats ont été probants. Avec 300 millions d’impressions, des dizaines de milliers de partages, des milliers de commentaires, et ce, sur diverses plateformes, nous avons réussi à générer une réelle discussion à propos des enjeux chers à l’AFPC.

En plus de résultats excellents sur les médias sociaux, la campagne a trouvé écho dans les médias traditionnels et a bénéficié d’une couverture médiatique exceptionnelle.

La présidente de l’AFPC, Mme Robyn Benson, souligne par ailleurs son appréciation du travail effectué par Upperkut dans le cadre de cette campagne:

« Ce fut un plaisir de travailler avec Upperkut. Leur démarche créative originale et innovatrice sortait des sentiers battus. La campagne Votons pour stopper l’hémorragie fut un franc succès de communications publiques et a résonné auprès de nos membres et des Canadiennes et Canadiens. En tant que syndicat, il était primordial de travailler avec une agence qui partage nos valeurs progressistes et qui comprend les préoccupations de nos membres. Nous recommanderions fortement Upperkut aux autres syndicats. »

Vous pouvez visionner les vidéos ici et ici.

La création en temps de crise sociale

La création en temps de crise sociale

Le Centre de design de l’UQAM présentait Création en temps de crise sociale, une exposition rétrospective du travail de l’École de la Montagne Rouge dont les affiches et les slogans sont devenus emblématiques du Printemps érable. Upperkut est fière d’être partenaire de cette exposition et d’avoir été mandatée par le Centre de design pour développer et déployer une stratégie de mobilisation sur les réseaux sociaux.

L’exposition a présenté une vue d’ensemble des œuvres réalisées de février à septembre 2012. Affiches, esquisses, photographies, vidéos, scénographie, expérimentations et documentations historiques illustraient le processus de création dans une perspective sociale d’espoir.

L’École de la Montagne Rouge s’est inspirée de l’université expérimentale Black Mountain College fondée en Caroline du Nord aux États-Unis dans les années 30, dans la lignée éminente du Bauhaus allemand. Cherchant à déconstruire les hiérarchies entre les arts, elle a considérablement marqué l’histoire de l’art du XXe siècle. C’est le Black Mountain College qui aurait inventé  la première « performance interactive » de l’histoire de l’art.

Cette organisation étudiante créative a produit, en à peine six mois, un corpus impressionnant d’artéfacts, dont une partie s’est faite connaître du public dans les différentes manifestations. Une façon alternative de laisser une trace de ce Printemps québécois dans notre grand livre d’histoire.

Médias sociaux, médias traditionnels… Pourquoi pas médias tout court ?

Il est temps de tirer un trait sur la frontière artificielle qui sépare les médias traditionnels (radio, imprimé, télévision) et les médias sociaux (blogues, Twitter, Facebook, pour ne nommer que ceux-là). Chez Upperkut, c’est une idée avec laquelle nous jonglons depuis un certain temps déjà. Mais de récents événements ont fait accélérer la réflexion et il nous incombe maintenant de clarifier notre pensée sur le sujet.

La télévision et Twitter

D’abord, la grandissante popularité des « live-tweets » pendant les émissions de télévision de grande écoute. On pense évidemment à l’émission Tout le monde en parle, qui a donné naissance au hashtag le plus populaire au Québec les dimanches soirs : #TLMEP. Chaque dimanche soir, des centaines de téléspectateurs y partagent leurs impressions sur les entrevues menées par Guy A. Lepage (@guyalepage) qui, avec ses acolytes Dany Turcotte (@danyturcotte) et André Ducharme (@AndreDucharme), échange aussi via Twitter. Bref, il y a deux Tout le monde en parle : un à la télévision, et un sur Twitter. Cependant, si la version Twitter est pour des raisons évidentes complètement dépendante de la version télé, il n’en demeure pas moins que l’opinion publique en ce qui concerne la version télé soit, du moins en partie, dépendante de la version Twitter. C’est le cas parce que Twitter étant le royaume des blogueurs, des journalistes et autres influenceurs, les opinions qui y circulent avec force représentent souvent les opinions qui circulent avec force hors-ligne.

Un autre émission de télévision québécoise, Un souper presque parfait, illustre encore mieux la fusion qui s’est opérée entre les médias traditionnels et les médias sociaux. Contrairement à Tout le monde en parle, la montée d’Un souper presque parfait dans les cotes d’écoute est directement liée à sa grande popularité sur Twitter via le hashtag #uspp. André Ducharme (encore lui !) le soulignait d’ailleurs lors de son passage à Tout le monde en parle :

À la lumière de ces deux exemples, il devient de plus en plus évident que les médias sociaux nourrissent les médias traditionnels, et vice-versa.

La campagne électorale et Twitter

Nous n’aurions pas pu écrire ce billet sans tenir compte de la grande importance qu’à joué Twitter pendant la campagne électorale fédérale qui tire maintenant à sa fin. Plusieurs ont mentionné que si la campagne de 2008 avait été une campagne Facebook, celle de 2011 aura été une campagne Twitter. Non seulement les chefs et les candidats des différents partis en lice ont beaucoup utilisé ce média, mais, encore une fois, Twitter aura servi à alimenter les médias traditionnels de la même manière que les médias traditionnels auront servi à alimenter le fil des échanges sur Twitter.

Premier exemple : en début de campagne, c’est sur Twitter que le chef conservateur Stephen Harper a invité le chef libéral Michael Ignatieff à venir débattre. Bien entendu, les grands médias traditionnels ont repris l’information, mais ils n’ont pu que constater que les médias sociaux les avaient « scoopé » sur ce point.

Mais l’exemple le plus concret est certainement survenu lors du débats de chefs en français. Grâce à Twitter, une citoyenne dénommée Muguette Paillé est carrément devenue une star après avoir posé sa question aux quatre chefs de partis. L’engouement pour Mme Paillé a été tel que l’expression « Mme Paillé » est devenue, pendant un certain temps, la septième expression la plus mentionnée (trending topic) sur Twitter dans le monde !

Le lendemain, Mme Paillé était invitée aux émissions de radio, sur les plateaux de télévision et on parlait d’elle abondamment dans les médias imprimés. En résumé : un média traditionnel (la télévision) a fait connaître Mme Paillé, des médias sociaux (Twitter et ensuite Facebook) ont fait exploser sa popularité et finalement tous les autres médias traditionnels (télévision, radio, imprimé) ont consacré cette popularité. Comme quoi télévision, Twitter, radio, Facebook et journaux sont maintenant capables de marcher main dans la main.

Qui pourrait maintenant prétendre qu’il y a une division nette entre les médias traditionnels et les médias sociaux ? Probablement quelqu’un qui n’a jamais entendu parler de Mme Paillé…

L’importance de l’opinion des pairs en publicité

Pratiquement chaque campagne de communication publicitaire que nous réalisons chez Upperkut vise à générer du bouche-à-oreille. Depuis que la pub existe, les annonceurs cherchent à générer ce résultat si précieux.

L’avènement des réseaux sociaux offre désormais aux annonceurs un fabuleux outil qui permet d’atteindre cet objectif. Mais pourquoi est-ce si important ? Pourquoi chercher à ce que les  consommateurs recommandent une marque ou parlent d’elle ?

Évidemment, me direz-vous, c’est pour amplifier la portée des messages et maximiser le retour sur l’investissement, le fameux ROI. En effet, quand la population se fait porteuse des messages, le média
est peu coûteux…

Une question de confiance

Mais surtout, si nous cherchons à générer du bouche-à-oreille, c’est parce que c’est le meilleur média pour tisser un lien de confiance entre une marque et les consommateurs et donner par conséquent plus de crédibilité et d’impact à ses messages.

Les résultats d’une enquête que Nielsen rendait publics en juillet dernier, confirment clairement en effet que les recommandations ou références venant de personnes que l’on connaît ainsi que des commentaires en ligne, de personnes inconnues, ont plus de «capital de confiance» que la publicité traditionnelle.

L’opinion d’un inconnu avant la pub !

On apprend également dans cette enquête, qui a été menée auprès de 25 000 Internautes dans plus de
50 pays, que 90 % des gens font confiance aux recommandations de personnes connues.

Une évidence, me direz-vous. Eh bien : 7 personnes sur 10 font également confiance aux commentaires en ligne de personnes inconnues. En effet, lorsqu’un pair ou même un internaute inconnu vous recommande un produit, un message, un site Web, un texte ou une vidéo, il a plus de crédibilité à vos yeux qu’un annonceur, dont l’objectif avoué est de vous inciter à consommer son produit.

The Nielsen Global Online Consumer Survey 2009

 

 

 

 

 

 

 

L'importance de l'opinion des pairs en publicité_ Nielsen_ analyse par Upperkut.com

 

 

 

 

 

 

 

 

L’importance du site Web

La même proportion des répondants (70 %) font confiance aux sites Web des marques ou organisations.
Il s’agit, en fait de la communication la plus performante émanant de l’entreprise elle-même.

Cette donnée confirme l’importance pour toutes marques, entreprises ou organisations d’investir dans un bon site Web, doté d’un contenu riche et mis à jour régulièrement, qu’on trouve aisément dans les moteurs de recherche. Entendons-nous, je ne parle pas ici d’un site promotionnel accessoire à une campagne de pub traditionnelle, mais bel et bien d’un site qui sert de plateforme de diffusion sociale à des messages conçus pour susciter un désir d’en parler ou encore de le retransmettre.

 

Les médias traditionnels toujours gagnants

L’enquête confirme par ailleurs que les consommateurs font par ailleurs plus confiance aux médias traditionnels qu’aux divers médias Web.

Concrètement, les annonces télé, journaux, magazines, panneaux, l’affichage extérieur et la radio ont plus de crédibilité aux yeux des consommateurs que les courriels, annonces (avant le visionnement de vidéo) en ligne, résultats commandités sur les moteurs de recherche, vidéos publicitaires, bannières et textos.

Ainsi donc, si le budget permet un poids suffisant, les médias traditionnels demeurent plus efficaces pour établir un lien de confiance entre une marque et ses consommateurs que le cybermarketing.

Les réseaux sociaux : les champions de la confiance !

 

Notons que les réseaux sociaux (à ne pas confondre avec le cybermarketing) trônent désormais au sommet de la relation de confiance marque-consommateurs.

Les internautes deviennent ambassadeurs de nos messages en faisant leurs les textes ou vidéos qu’ils transmettent ou recommandent. Ils sont le véhicule de recommandation de contenu aux pairs (blogues, réseaux sociaux et forums de discussion).

En conclusion

Si un annonceur cherche à établir un lien émotif avec ses consommateurs, ce qui est souhaitable,
il doit véhiculer ses messages par des médias qui «inspirent confiance».

Bien que moins efficaces pour générer un lien de confiance, ces médias permettent de segmenter
et d’adapter en fonction des diverses clientèles visées. On pourrait par ailleurs mettre un bémol
sur l’efficacité des annonces traditionnelles simplement déclinées en bandeau Web…

Parler web 2.0 : l’influence des nouveaux médias sur la langue

web-language

Depuis l’an 2000, notre monde a bien changé. Les nouveaux médias et plus particulièrement le Web 2.0 et les réseaux sociaux ont profondément bouleversé notre manière de communiquer. À vrai dire, tout a changé si rapidement que le vocabulaire existant ne nous permet plus de décrire certaines nouvelles réalités, du moins pas dans un langage clair, simple, concis et précis. Une réflexion s’impose. (suite…)

Réseaux sociaux : le mot de l’année 2009 est unfriend

unfriend

«Unfriend» comme dans «To unfriend» ou désamifier en français… Pas trop joli.

Avis aux adeptes de la traduction, il y a encore du travail à faire pour le mot de l’année 2009 tel que désigné par le New Oxford American Dictionary.

Mais attends…«unfriend» comme dans «Je t’élimine de ma liste d’amis Facebook parce que tu renouvelles ton statut aux 15 minutes et que c’est vraiment agaçant?»

Oui.

Désamifier : retirer quelqu’un de sa liste d’amis sur LiveJournal, Myspace, Facebook ou d’autres réseaux sociaux. Revenant à dire à quelqu’un qu’on ne souhaite plus être son ami sans le lui annoncer, le geste est souvent perçu comme un comportement passif-agressif.

Allez, je m’arrête ici. Pour plus de détails sur le mot unfriend, je vous allez lire un article paru ce jour dans Libération.